Catégories : FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 10 ans
Une bonne cure d'amaigrissement (Lavement)
Notre patronne était très moqueuse avec ses domestiques, et elle aimait les humilier en critiquant leur poids. Quelques unes en fondaient en larmes.
Je me souviens d’Annette une jolie fille de vingt-cinq ans, mince pourtant, qui était bonne à tout faire. Martha, la cuisinière, et moi, qui suit sa fille de cuisine, nous avions tout essayé pour lui faire comprendre que son poids n’était pas un problème, mais nous n’y arrivions pas. Aussi, nous avons dû entreprendre un traitement de choc. Ce jour-là elle est entrée dans la cuisine en se plaignant qu'elle n'arriverait jamais à faire fondre les bourrelets disgracieux qu'elle voyait autour de ses hanches. Elle se sentait d'autant plus désemparée que l’été arrivait. Martha l'a invitée à se peser sur la grande balance qui servait à contrôler les livraisons.
- Oh ce n'est pas la peine, a balbutié la jeune femme. Je sais bien que je n'ai pas perdu un gramme.
- Nous verrons bien, allons! Annette s'est déshabillée avec un air de martyre pendant que je préparais la balance. Elle n'était pas grosse du tout, simplement un peu rondelette sur les hanches avec de gros seins et des fesses joufflues. Son visage poupin rougissait à tout propos. Ses yeux bleus à l'expression candide et les dessous blancs et simples qu’elle portait sous sa blouse accentuaient son air juvénile. Elle a grimpé en soupirant sur le plateau de la balance. Et a paru accablée quand j'ai annoncé son poids. Martha a tout de suite grondé.
- C'est incroyable! Tu es bien trop grosse, en effet, tu es grasse comme une caille. Annette a fait oui d'un signe de tête, trop accablée sans doute pour parler. Elle gardait la tête basse comme si une chape de plomb pesait sur ses épaules. Martha a eu un sourire pincé dans son dos.
- Tu n’a pas fait de régime, n'est-ce pas? Inutile de mentir. La balance t’accuse. Annette avait vraiment l'allure d'une gamine que l'on gronde. Elle a avoué en reniflant qu'elle avait craqué pour quelques pâtisseries. Martha s'est assise, sans pouvoir cacher la jubilation que lui causait l'attitude contrite de la pauvre Annette.
- Des pâtisseries? Et moi qui m'échine à te faire des plats à part pour ton régime et à te remonter le moral quand tu parles de maigrir. C'est à se demander si tu en as vraiment envie.
- Oh, je vous en prie! Il faut absolument que je perde ces bourrelets. Je vais me faire un régime sévère, Madame Martha. La cuisinière a secoué la tête en disant que c'était inutile. Il fallait dans son cas un traitement plus énergique pour la guérir de sa gourmandise, la vraie source de tous ses maux.
- Je... je m'en remets à vous, a fait la jeune bonne.
Martha a insisté. Il ne s'agissait pas d'accepter puis de reculer au dernier moment. Annette a juré de lui obéir en tous points. Martha lui a ordonné de se déshabiller complètement pour évaluer l'étendue des dégâts. Annette a ôté son joli petit tablier blanc et sa blouse bleue rayée de blanc, puis son soutien-gorge, libérant ses seins ronds et lourds légèrement tombants, surmontés de larges aréoles brunes. La peau de ses mamelons s'est fripée au contact de l'air frais. Elle a fait glisser son slip le long de ses jambes dodues. Son ventre s'ornait d'une grosse touffe de poils noirs au milieu desquels pointaient les lèvres de son sexe, épaisses et longues. Martha a tourné autour d'elle, une grande cuillère de bois à la main. La jeune bonne semblait de plus en plus gênée, juchée sur le plateau de la balance comme sur un piédestal, sous le regard sans indulgence de deux consœurs habillées. Martha lui a tapoté les deux fesses en même temps. Puis elle lui a remué les seins par en dessous avec la pointe de la cuillère.
- Voilà où sont les deux cent grammes que tu as pris. Et où se trouve le reste. Annette a gémi de honte. Elle ne suscitait pas la pitié pourtant. Bien au contraire son air timide et coupable donnait envie de se montrer cruelle avec elle. Martha cinglait son abondante poitrine de plus en plus fort, laissant des marques rouges sur la peau laiteuse. Les tétons s'allongeaient et se redressaient. La passivité de la jeune bonne face à ce traitement cruel ne pouvait s'expliquer que par le plaisir pervers qu'elle en retirait. Une femme ordinaire n'aurait certainement pas supporté le comportement de Martha. Délaissant les seins, Martha a donné un violent coup de cuillère sur le derrière d’Annette.
- Allons petite gourmande! Je vais te punir de ta gourmandise. Mains sur la tête et descends de votre perchoir. Tu vas marcher de façon à ce que j'évalue l'emplacement de tes rondeurs.
Annette a fait docilement le tour de la grande table qui occupait le centre de la cuisine. Sa position, mains sur la tête, faisait saillir sa poitrine. Martha ne se privait pas de lui fouetter les seins à toute volée avec la cuillère. Cela faisait un bruit flasque et les deux masses gélatineuses ballottaient sous les coups. Quand la jeune femme est arrivée devant le grand miroir, qui nous servait à ajuster notre tenue en sortant de la cuisine pour aller servir, Martha l'a obligée à sautiller sur place.
Je la voyais de dos avec ses fesses dodues qui se crispaient et se relâchaient sous l'effort. Elle n'arrêtait pas de gémir. Martha, la sentant sans doute bien en main, l'a obligée à marcher à quatre pattes autour de la pièce. Ses gros seins se balançaient lourdement au gré de sa démarche, effleurant le sol carrelé de leur pointe. Ses fesses s'ouvraient, dévoilant sa raie poilue, la rondelle bistre de son anus et la naissance de sa chatte. Martha m'a prise à témoin.
- Est-ce qu'on ne dirait pas une grosse truie qui s'empiffre et amasse du lard toute la journée? J'ai acquiescé pendant qu’Annette pleurnichait de honte. Martha l'a fait monter sur la table de cuisine en la stimulant à coups de cuillère de bois. Quand Annette a levé la jambe pour se hisser j'ai vu les languettes rouge sang de ses petites lèvres pendre entre les grandes lèvres qu’elle avait bien grasses et épaisses. Une fois en place, elle a caché son visage entre ses avant-bras. Martha lui a posé la cuillère en travers des reins.
- Approche Corinne! Tâtes-moi ce gros cul!
J'ai palpé les fesses, elles étaient plantureuses mais fermes. Martha s'est mise à en pétrir une sans ménagement, je l'ai imitée. Nous étirions la peau entre nos doigts et nous la pincions avant de triturer sans douceur la couche graisseuse sous-jacente. Annette remuait sur la table et gémissait mais ne cherchait pas à échapper à ce traitement. J'étais terriblement excitée, au point que je mouillais mon épaisse culotte de coton. Je comprenais Martha qui fustigeait de paroles blessantes la jeune bonne, le visage illuminé par une joie malsaine. Ivres de cruauté, nous pétrissions de plus belle, imprimant des pinçons écarlates sur la chair pâle. Nous avons tiré chacune une fesse de notre côté pour les séparer. Dans la raie moite, le trou du cul s'ouvrait et se refermait. Nous avons tiré quelques poils tout autour pour l'entrebâiller. Annette s'est crispée mais a vite cédé. La bordure ridée de son trou du cul s'est boursouflée puis creusée en son centre, montrant un peu de chair rose à l'intérieur. Martha s'est mise à la fesser énergiquement, frappant à pleines mains les fesses déjà meurtries par les pinçons. Puis j’ai continué à la frapper, avec un torchon mouillé et essoré, qui claquait bien sur son gros cul. La bonne était devenue une sorte de pantin soumis. Quand nous avons été fatiguées de frapper, sur l’ordre de Martha, elle s'est remise debout péniblement, le cul rougi. Martha lui a tâté le ventre.
- Tu me parais bien "chargée", Annette. Tu souffres d'un mauvais transit intestinal. Cela explique en partie tes problèmes. Corinne, prépares un lavement de deux litres pour mademoiselle.
L'idée n'enchantait visiblement pas la jeune bonne. Elle a tenté de discuter, mais Martha n' a rien voulu entendre. Quand je suis revenue de l’évier avec le bock plein d'eau chaude, j'ai dû réprimer un fou rire. Annette trônait à quatre pattes sur la table de cuisine, son gros cul tourné vers la porte, offrant un spectacle obscène et excitant. Martha la surveillait d'un œil sévère. La bonne s'est mise à geindre.
- Oh non, c'est impossible! Je ne pourrai jamais supporter tout ça.
Martha l'a fait taire. J'ai posé le bock, un modèle ancien, émaillé, avec un long tuyau de caoutchouc terminé par une canule d'ébonite munie d'un robinet. Martha m'a donné l'ordre de lubrifier l'anus de la jeune femme. Celle-ci a serré peureusement ses fesses quand j'ai approché la motte de beurre. Martha s'est mise en colère.
- Laisses-toi faire, sinon Corinne t’enfoncera la canule à sec. Elle a donné quelques tapes très sèches sur le derrière pour appuyer sa menace. Annette a bombé le cul, les joues rouges comme une pivoine. Elle exhibait en pleine lumière tout l'intérieur de sa raie aux poils collés par la sueur. Les bords de l'anus saillaient et entre ses cuisses, j'apercevais l'intérieur de sa vulve béante rouge et luisante. Un liseré de bave suintait entre les replis.
J'ai enduit mon doigt de beurre et j'ai frôlé la bordure plissée de l'anus. Celui-ci s'est contracté comme une sensitive. J'ai joué à l'affoler en le touchant à plusieurs reprises à différents endroits. Puis j'ai appuyé au centre de la rondelle par petits mouvements circulaires. La pastille devenait plus souple sous mon index. La bonne est allée jusqu'à pousser timidement, pour m'aider. J'ai enfoncé mon doigt dans l'anus. L'intérieur était moite, fiévreux. Le trou s'élargissait pendant que je massais les parois du rectum. Martha semblait prendre un intérêt malsain à mon manège. Elle m'a montré sans rien dire le sexe entre les cuisses écartées de la bonne. Il jutait de plus belle. Les grandes lèvres paraissaient enflées. J'ai aperçu le clitoris me penchant. Je n'en avais jamais vu d'aussi long. Quand l'anus a été bien souple, j'ai retiré mon doigt avec précaution. Cela a fait comme une bague chaude qui se crispait pour me retenir. J'ai tiré d'un coup, Annette a poussé un cri désemparé. Son trou du cul est resté ouvert un instant puis il s'est refermé lentement. La canule est entrée comme dans du beurre, le robinet se trouvait juste au ras de la rondelle.
Martha a suspendu le broc à un crochet de la poutre, où il nous arrivait de pendre des jambons, puis nous avons ouvert les vannes. Il y a eu long silence pendant lequel on n'entendait que la respiration oppressée d’Annette et un bruit d'écoulement excitant. J'en avais la culotte collée au sexe et les pointes à vif de mes seins nus frottaient sur le coton rêche de ma blouse. J'étais incapable de détacher mon regard du ventre qui se gonflait comme une outre, contraignant la jeune femme à une posture de plus en plus cambrée. Son clitoris sortait monstrueusement, tout baveux.
Martha m'a mis la main aux fesses, directement sous ma blouse trop courte. Je mouillais tellement que j'avais écarté les cuisses comme une gamine qui a pissé dans sa culotte. Martha m'a tâtée à travers le slip, pressant ma chatte entre ses doigts comme un fruit. Elle m'a chuchoté :
- Tu coules comme une fontaine, petite cochonne!
Je n'ai pas osé me dérober. Martha m'a pelotée un bon moment. Puis elle a glissé un doigt sous ma culotte et l'a insinué dans ma fente juteuse. Elle est remontée dans l'entaille de bas en haut, séparant les petites lèvres. J'ai écarté un peu plus les jambes pour lui faciliter la tâche. Elle a appuyé sur mon clitoris pour le faire sortir de sa gousse. J'ai dû me mordre les lèvres pour ne pas crier. Annette a poussé un gémissement en tournant la tête vers nous. Martha a retiré précipitamment sa main de sous ma blouse. Le visage de la bonne exprimait la détresse la plus totale.
- Je vous en supplie, Martha, arrêtez ça. Je... je sens que tout va ressortir.
Martha m'a adressé un clin d'œil tout en m'ordonnant de masser le ventre de la bonne pour la détendre. Comprenant tout de suite j'ai appuyé sur la canule d'une main mais de l'autre j'ai glissé mes doigts dans le sexe d’Annette. Elle a sursauté et s'est tordu le cou pour me regarder. Sa chatte était fiévreuse. Elle mouillait avec une abondance incroyable. J'ai décollé ses petites lèvres pour dégager le clitoris. Je me suis amusée à le pincer entre le pouce et l'index. Annette haletait bruyamment.
Martha ne restait pas inactive dans mon dos. Elle a enfoncé sa main sous ma culotte et m'a branlée, du bout des doigts. J'ai joui presque tout de suite et la bonne a fait de même sur la table de cuisine. Un gargouillement a annoncé un instant plus tard que le bock à lavement était vide. Martha a fermé le robinet de la canule. Nous avons laissé la bonne un long moment dans la même position, avec le tuyau sortant de son derrière comme une queue bizarre. Pendant ce temps, Martha et moi nous embrassions à pleine bouche et nous nous pelotions comme deux folles.
Puis Martha m'a demandé de retirer la canule. Annette s'est agenouillée tant bien que mal sur la table. Elle ressemblait à une femme enceinte avec son ventre gonflé. Son anus se boursouflait sous la pression de l'eau. Elle restait figée sur la table, tétanisée par la crainte de ne pas pouvoir se retenir. Martha lui a donné une claque sur les fesses pour la faire descendre malgré ses protestations. Elle s'est remise debout avec précautions, ses mains soutenant son ventre. Elle pleurnichait comme une petite fille. Je voyais son anus se crisper de façon inquiétante sous le poids du lavement. Martha s'est moquée d'elle en lui palpant le ventre.
- Au moins, tu ne te plaindras pas d'avoir le ventre vide, ma chère. Tu vois où te mène ta honteuse gloutonnerie?
Elle l'a obligée à marcher de long en large, les mains sur la tête pour que son ventre gonflé ressorte bien. Puis elle l'a forcée à sautiller sur place. L'eau clapotait dans son ventre de façon humiliante mais elle était maintenant au-delà de la honte, prête à tout pour que cesse son supplice. Martha m'a dit d'aller chercher le gros pilon qui servait à écraser l’ail dans le mortier. Elle a enfoncé le manche du pilon dans la chatte de la bonne. Annette, incapable de se contrôler sans doute, a commencé à aller et venir le long du manche fiché dans sa moule. Elle a joui très vite. Martha, les lèvres pincées lui a indiqué la direction de la souillarde, au fond de la cuisine. Elle s'y est rendue à petits pas précautionneux, avec le pinceau planté dans le sexe, ce qui l'obligeait à une ridicule démarche en canard. Au passage, elle a ramassé ses sous-vêtements, sa blouse et son tablier. Elle nous a rejointes un moment plus tard dans la cuisine. Ce n'était plus la même femme. Habillée, souriante, elle avait retrouvé son allure de jeune domestique de bonne maison.
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